Union départementale UD 93 CFE-CGC
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Pour un financement exceptionnel

Dans le cadre de la rencontre sociale du 1er juillet 2009 à l’Élysée, destinée à faire le bilan des mesures mises en place depuis le sommet social de février, Bernard Van Craeynest, souligne que le cœur des préoccupations de la CFE-CGC est l’emploi, alors que l’encadrement est loin d’être épargné par le chômage.

Le président confédéral, constatant que la masse salariale a fortement baissé (de 6 points en un an), souligne que les régimes de protection sociale, tous loués pour leurs vertus d’amortisseurs sociaux, voient aujourd’hui leurs déficits exploser.

Face aux drames que vivent les salariés, Bernard Van Craeynest demande à Nicolas Sarkozy de mettre en place un financement exceptionnel pour assurer le maintien et la pérennité de notre système de protection sociale aujourd’hui menacé. Défendre ce système par répartition, c’est assurer une solidarité intergénérationnelle. Elle doit s’inscrire dans une dynamique de développement durable porteur d’avenir.

Dans ce contexte difficile, la CFE-CGC demande qu’une concertation s’engage prioritairement sur la question de la gouvernance et du rôle majeur de la négociation collective. Le président confédéral estime inadmissible que des discussions individuelles s’engagent pour que des salariés de l’encadrement sacrifient leurs conditions de travail et leur rémunération. Elle rappelle au chef de l’État sa revendication en faveur d’un « contrat d’engagement social ».

Enfin, la CFE-CGC se déclare favorable à la concertation pour déterminer les objectifs d’un emprunt national. À ce propos, il ne s’agira pas d’oublier que la France doit respecter les objectifs de Lisbonne : un budget consacré à la recherche et à l’investissement d’au moins 3 % du PIB.

Dans le cadre de la rencontre sociale du 1er juillet 2009 à l’Élysée, destinée à faire le bilan des mesures mises en place depuis le sommet social de février, Bernard Van Craeynest, souligne que le cœur des préoccupations de la CFE-CGC est l’emploi, alors que l’encadrement est loin d’être épargné par le chômage.

Le président confédéral, constatant que la masse salariale a fortement baissé (de 6 points en un an), souligne que les régimes de protection sociale, tous loués pour leurs vertus d’amortisseurs sociaux, voient aujourd’hui leurs déficits exploser.

Face aux drames que vivent les salariés, Bernard Van Craeynest demande à Nicolas Sarkozy de mettre en place un financement exceptionnel pour assurer le maintien et la pérennité de notre système de protection sociale aujourd’hui menacé. Défendre ce système par répartition, c’est assurer une solidarité intergénérationnelle. Elle doit s’inscrire dans une dynamique de développement durable porteur d’avenir.

Dans ce contexte difficile, la CFE-CGC demande qu’une concertation s’engage prioritairement sur la question de la gouvernance et du rôle majeur de la négociation collective. Le président confédéral estime inadmissible que des discussions individuelles s’engagent pour que des salariés de l’encadrement sacrifient leurs conditions de travail et leur rémunération. Elle rappelle au chef de l’État sa revendication en faveur d’un « contrat d’engagement social ».

Enfin, la CFE-CGC se déclare favorable à la concertation pour déterminer les objectifs d’un emprunt national. À ce propos, il ne s’agira pas d’oublier que la France doit respecter les objectifs de Lisbonne : un budget consacré à la recherche et à l’investissement d’au moins 3 % du PIB.

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